
Nouvelle onde de choc dans le monde du tennis. Après Jannik Sinner, c’est au tour d’Iga Świątek d’être au cœur d’une affaire de dopage. La numéro 1 mondiale a été contrôlée positive à la trimétazidine en août dernier, mais sa suspension, limitée à un mois, reflète une faute jugée minime par l’Agence internationale pour l’intégrité du tennis (ITIA).
Une contamination accidentelle
Świątek a expliqué dans une vidéo que la substance interdite provenait d’un médicament contaminé, en l’occurrence de la mélatonine. L’ITIA a confirmé cette version dans son communiqué, soulignant que la joueuse présentait "le degré de faute le plus faible".
Le contrôle positif date du 12 août, avant le Masters 1000 de Cincinnati. La Polonaise a purgé une grande partie de sa suspension entre septembre et octobre, ce qui explique sa participation aux WTA Finals et à la Billie Jean King Cup après cette période.
Une polémique grandissante
Cette affaire, révélée après celle de Sinner, soulève des questions sur la gestion des contrôles et des sanctions dans le tennis. Alors que Świątek a vu sa suspension réduite, les débats sur les cas de contamination accidentelle et leur impact sur l’intégrité du sport continuent de diviser.
Malgré cette suspension, Świątek reste focalisée sur la saison à venir, mais l’ombre de cette affaire risque de planer encore quelque temps.
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